BONJOUR A TOUS ! DIMANCHE APRES LA THÉOPHANIE ÉPIPHANIE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST! (FETE DE SAINTE TATIENNE ET SES COMPAGNONS MARTYRE A ROME VERS L'AN 203)

BONJOUR A TOUS !

DIMANCHE APRES LA THÉOPHANIE ÉPIPHANIE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST!

(FETE DE SAINTE TATIENNE ET SES COMPAGNONS MARTYRE A ROME VERS L'AN 203)

*SAMEDI après la théophanie 11 JANVIER OFFICE DE VEPRES

ET

*OFFICE DES MATINES : A 18H00

*LITURGIE DU DIMANCHE 12 Janvier 29 IEM APRES LA PENTECOTE à 10H00

*SUIVIE DES Agapes :(chaque personne porte quelque chose si possible.)

*P.S : se munir d’un récipient vide afin de récupérer l'eau bénite.

*(Suivie des agapes : chaque personne porte quelque chose si possible.)

Téléphone( 0696 344321) adresse : 4 chemin du morne laurent TIVOLI

Possibilité de se confesser en semaine TL👆🏽 pour rendez vous.

+Père LAZARE

**********

ICONE DE LA THEOPHANIE

L'icône de l’Épiphanie Théophanie représente symboliquement le baptême du Christ au Jourdain, et illustre également certains textes scripturaires concernant le rôle de l'eau comme instrument et de la création du monde, et du salut de l'humanité.

En la personne de Jésus-Christ, qui n'a pas connu le péché, le baptême n'est évidemment pas octroyé, comme dans notre cas " pour la repentance ", " en vue de la rémission des péchés" (Actes 2/38).

Traversant la croûte terrestre, le Christ pénètre dans un "tombeau liquide", ce trou noir, lieu du "shéol" ou séjour des morts. Son baptême est essentiellement un passage dans la mort et la résurrection, comme le sera, à sa suite, notre propre baptême, ainsi que l'explique saint Paul : "Nous avons donc été ensevelis avec lui dans la mort par le baptême, afin que, comme Christ est ressuscité d'entre les morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie " (Rom. 6/4). De plus, l'entrée du Christ dans le Jourdain a déclenché une véritable Pentecôte personnelle, la première manifestation du Dieu trinitaire.

"Dans ton baptême au Jourdain, Seigneur, s'est manifestée l'adoration de la Trinité... "

On peut faire, de l'icône, d'abord une lecture verticale : la déchirure du ciel, toujours en arc de cercle, annonce le mouvement Théophanie, la présence du Père qui désigne le Fils ("Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j'ai mis toute mon affection", Mat. 3/18), et laisse filtrer le triple rayon, avec la colombe à mi-course, porteuse de l'amour du Père envers le Fils, comme de l'amour du Fils envers le Père. La colombe nous reporte au début de la Genèse, où l'Esprit se mouvait sur les eaux à l'aube de la création, tout comme ici, elle descend à l'aube de la création d'une humanité nouvelle.

Le baptême a des répercussions cosmiques : " Le Christ est baptisé ; il sort de l'eau, et avec lui il relève le monde " (hymne liturgique). Ce jour-là, se fait dans l'Eglise la grande bénédiction des eaux : mer, rivières, lacs, sans parler de l'eau que les fidèles emporteront chez eux pour la consommer à des occasions particulières.

Une lecture horizontale de l'icône est également possible. Elle part de la tête de saint Jean, qui résume à lui seul la présence de l'humanité. Le " dernier des prophètes " dut se faire violence (Mat. 3/14) pour accepter de baptiser celui dont il n'était pas digne de délier la courroie des souliers. A droite, le monde céleste et angélique, les trois anges aux mains voilées en signe d'adoration. Au milieu, enfin, le Christ, qui, d'un geste, bénit l'univers aquatique, au point de croisement, sur un plan horizontal, des mondes humain et angélique, et, vertical, du ciel, de la terre et de l'enfer. Tous les éléments de la création sont ainsi rassemblés, réunis, en vue de l'œuvre du salut.

Épiphanie THÉOPHANIE selon les orthodoxes

1. L’Épiphanie selon les orthodoxes : la Théophanie

Carême de Noël orthodoxe - Grand carême orthodoxe - Fête des palmes orthodoxes - Grand jeudi orthodoxe Pâques orthodoxe - Pentecôte orthodoxe - Dormition orthodoxe - Dimanche de tous les saints orthodoxes.

L’Épiphanie Théophanie , est une fête qui a une signification différente pour les chrétiens d’occident et les chrétiens d’orient (orthodoxes). En occident, l’Épiphanie est l’adoration de Jésus par les mages. Dans les rites orientaux, la fête, nommée Théophanie, a pour objet le baptême du Christ dans le Jourdain qui a sanctifié les eaux. Le jour de la Théophanie, l’Église orientale ne fait pas mention de l’adoration des Mages, elle a réuni ce mystère à celui de la Naissance du Sauveur dans ses Offices pour le jour de Noël.

La veille de la Théophanie, après la liturgie, le prêtre bénit l’eau baptismale et asperge d’eau bénite l’assemblée. Le jeûne et l’abstinence sont obligatoires la veille de la Théophanie. Le jour de la Théophanie, le prêtre bénit l’eau des fontaines, des fleuves et même de la mer. Aujourd’hui encore, on sort des églises en procession pour accomplir ces rites. Dans la liturgie copte, il y a aussi la grande bénédiction des eaux.

2. Date de la Théophanie orthodoxe / Théophanie

La date de la Théophanie orthodoxe est différente dans les églises grecques et dans les autres églises orthodoxes. Les églises grecques, qui suivent le calendrier grégorien, célèbrent l’Épiphanie /Théophanie le 6 janvier.

La date de l’Épiphanie orthodoxe des églises russes, serbes, arméniennes, coptes et éthiopiennes, ainsi que le Mont Athos qui suivent le calendrier julien, est 13 jours plus tard, c’est-à-dire le 19 janvier. Cependant en France, les Églises russes qui suivent la liturgie en français célèbrent l’Épiphanie, Théophanie le 6 janvier.

Ce n’est pas l’Épiphanie, Théophanie que les russes célèbrent le 7 janvier, mais Noël la naissance de Jésus, 13 jours après le 25 décembre.

Le Noël orthodoxe

La traditionnelle fête de Noël orthodoxe trouve sa place dans la Serbie, la Russie le Mont Athos d'aujourd'hui. Elle est fêtée le 7 janvier suivant le calendrier julien toujours en vigueur dans l'Eglise serbe et russe. Cette différence d'avec l'église catholique remonte à 1582, quand le pape Grégoire XIII changea de calendrier et créa le calendrier grégorien plus en synchronisme avec le soleil. Le calendrier julien fut établi par Jules César en 46 av. J.-C. Les protestants acceptèrent le nouveau calendrier au début du XVIIIe siècle.

Noël célèbre la naissance de Jésus, censée avoir eu lieu il y a environ deux mille ans. Mais, à y réfléchir un peu, il est improbable que l'événement soit célébré depuis cette naissance. Quelle est donc l'origine de la fête de Noël.

La naissance de Jésus

Ce n'est qu'au sixième siècle de notre ère qu'un moine vivant à Rome, Denis le Petit, fixe la naissance de Jésus le 25 décembre de l'an 753 de la fondation de Rome et en fait le début de l'ère chrétienne, dans laquelle nous vivons aujourd'hui. En réalité, Jésus est plutôt né avant la mort d'Hérode le Grand (749 de Rome, soit -4). Selon Matthieu, Jésus serait né avant le remplacement d'Hérode par Archélaüs, donc vers -6 ; mais selon Luc, ce serait au moment du recensement de Quirinius qui a eu lieu au moment de la déposition d'Archélaüs, en +6. L'année choisie par Denis correspond ainsi à une moyenne entre ces données contradictoires, mais on ne connaît pas le détail du calcul de Denis.

Denis fixe donc tardivement l'année, mais la fête de Noël existe déjà. Elle est cependant postérieure à la rédaction des évangiles : les récits de la naissance (Matthieu 1-2 ; Luc 1-2) sont écrits après ceux du ministère, vers l'an 100. Or, à cette date, les chrétiens ne fêtent pas encore cette naissance, et rien ne suggère que l'événement ait eu lieu en hiver. En somme, Noël n'existe pas comme fête avant le deuxième siècle.

Le substitut de la fête païenne du solstice d'hiver

La fête de Noël est, en revanche, bien attestée au début du quatrième siècle, lorsque l'empire romain se christianise ; et l'on observe alors qu'elle remplace progressivement la fête romaine des Saturnales qui est une fête de la lumière célébrant le moment de l'année solaire où les jours recommencent à s'allonger. Symboliquement, le solstice d'hiver marque la victoire de la lumière sur les ténèbres et le jour est donc célébré dans la joie.

Les coutumes serbes de la fête de Noël

C'est au neuvième siècle, après leur christianisation par Byzance, que les Serbes commencèrent à fêter Noël. Le rituel de célébration est un mélange des principes orthodoxes et des traditions populaires. Ainsi, la veille de Noël, qui revêt un caractère tout aussi important que le jour même, est principalement marquée par le jeûne. Pour les plus fidèles, le jeûne commence dès le 28 novembre avec le carême de Noël. En hébreux ancien, le mot quarante signifie la "multitude", les quarante jours du carême de Noël symbolisent donc la longue attente par l'humanité de son Sauveur (Jésus jeûna pendant 40 jours dans le désert et ordonne à ses disciples de jeûner). Le carême de Noël n'a pas pour but unique la santé du corps. Le but principal est, par un état d'abstinence, d'accéder à une disponibilité du mental, afin de le diriger vers la prière. Cette pratique religieuse, oubliée en Occident consiste, en premier lieu, en une limitation de nourriture pendant certaines périodes ou jours isolés. Pendant le carême les croyants s'abstiennent de toute nourriture animale : viande, poisson, œufs et produits laitiers (mais pas des crustacés et des fruits de mer, ni de miel).

Un carême encore plus sévère interdit l'utilisation d'alcool et d'huile ainsi que de ses produits dérivés, comme la margarine. Mais le carême de Noël est considéré comme moins rigoureux et permet même le poisson les samedis et dimanches.

La fin du carême est marquée le jour de Noël par un repas festif regroupant toute la famille. Le repas est constitué principalement d'un cochon de lait grillé, symbolisant un sacrifice au Dieu dont l'origine remonte à l'époque préchrétienne, et d'une galette de pain contenant une pièce. Lors du repas, les morceaux de la galette sont coupés à la main et celui qui reçoit la part contenant la pièce aura une année heureuse. La galette est également un symbole de sacrifice au Dieu, qui remonte à l'ancien testament.

La veille de Noël, le matin très tôt, le père de famille part chercher le "badnjak" (rameaux de jeune chêne) qu'il laisse devant l'entrée jusqu'au soir. Lors du coucher du soleil, le badnjak est introduit dans la maison, et posé sous la table (sur laquelle aura lieu le repas) avec de la paille. Le dîner est composé de galette, de poisson cuit à l'huile, de miel, de vin, de fruits secs et d'haricots. La nourriture ne doit pas être consommée entièrement.

On souhaite Noël en disant "Le Christ est né !" ou "Joyeux Noël !", en réponse on reçoit "Il est né !" ou "Que Noël t'apporte du bonheur !".

Le repas de Noël commence après le retour de l'église. Le père de famille allume un cierge et fait le signe de croix, bénit le repas, récite le "notre père" et coupe le gâteau de Noël.

LE REGARD D'UNE CHRÉTIENNE ORTHODOXE :

Quelle est la différence entre religion orthodoxe et catholique ?

Quelle est la différence entre religion catholique et orthodoxe ? Les Catholiques et Orthodoxes sont Chrétiens et donc ils croient tous au même Dieu et en la Bible. Les différences orthodoxe et catholique sont nées officiellement du schisme de 1054 : une histoire de pouvoir politique et de questions dogmatiques et théologiques. Alors à ce moment- là, de nombreuses différences apparaissent en ce qui concerne le rite, la spiritualité, la façon de vivre et de se comporter en tant que croyant pour chacun de ses deux mondes religieux.

Je vais énoncer les différences en voyant les deux façons de se comporter, lors de vos voyages en Grèce.

Liturgie orthodoxe:

1. Différence sur le dogme trinitaire : Pour les catholiques, le Saint Esprit procède du Père et du Fils alors que pour les orthodoxes, le Saint Esprit procède du Père PAR le Fils.

2. Lors de la liturgie orthodoxe QUOTIDIENNE, les gens restent debout ou assis mais ne s’agenouillent pas. Les popes ne parlent pas mais chantent plutôt. Les orthodoxes mangent du pain fermenté symbole du Christ qui fait monté la patte chrétienne le pain nouveau tandis que les catholiques mangent de l’azyme de l’ancien testament autrement dit l’Hostie.

2. Les catholiques font le signe de croix en commençant par le front, le torse puis les épaules avec les doigts de gauche à droite miséricorde et justice. Ce que fait une mère. Alors que les orthodoxes font le signe de croix en commençant par le front, le torse puis les épaules avec les doigts de droite à gauche justice et termine sur la miséricorde qui est le point final. Les Orthodoxes font leur signe de croix chaque fois qu’ils passent devant une église.

3. Dans les églises orthodoxes, il y a des icônes qu’on ne trouve pas chez les catholiques, lesquels ont plutôt des tableaux et des statues.

4. L’église orthodoxe n’est pas séparée de l’Etat, alors que c’est le cas contraire chez les catholiques. Je dirais que malheureusement certains prêtres catho et ortho sont hommes consacré pas toujours des saints et qu’ils sont des gens comme tout le monde, même s’ils transmettent la parole de Dieu. Toutefois, le fait est que les Grecs vont tous les dimanches à l’église (toutes les églises grecques sont pleines tous les dimanches comme en France, il y a 60 ans environ). C’est ça qui est important : Que les gens ont la foi en un dieu qui les soulage des maux de tous les jours (crise économique etc.).

5. L’église orthodoxe suit une structure par pays (pour la Grèce, le patriarcat de Constantinople) alors que l’église catholique est internationale (via le Vatican).

6. Les orthodoxes nient la suprême Autorité du Pape.

7. Les popes orthodoxes peuvent se marier AVANT D’ETRE PRÊTRE et avoir des enfants alors que le clergé catholique D’OCCIDENT ne se permet aucun mariage SAUF LES PRÊTRES CATHOLIQUE D’ORIENT, ils ont des prêtres marier en orient les Melkites et les Maronites.

8. Lors des liturgie grecques, il n’y a pas de liturgie parlé mais seulement « chanté ou psalmodié ».

9. L’Église orthodoxe baptise par immersion car c’est la tradition depuis les origines évangéliques.

10. Les Orthodoxes vivent dans une église organisée selon des canons fixés aux premiers temps du christianisme. L’église catholique ressemble plutôt à une administration, laquelle s’est souvent réformée, a beaucoup changé et gagné dans son enseignement et son pouvoir sur terre.

Mon expérience : Les différences entre les religions sont stupides. Quoique n’y ait plus de querelles depuis très longtemps, je pense que les Grecs orthodoxes et Français catholiques par exemple devraient plutôt se réunir car ils sont tous chrétiens. Le Grand schisme d’Orient de 1054 et la prise de Constantinople en 1204 (dernières croisées d’Occident) sont les pages noires de l’histoire européenne dont nos ascendants devraient avoir honte. Tout fut une histoire de pouvoir politique et économique des 2 Eglises qui a fait couler beaucoup de sang avant la séparation.

Le principal est de croire en un Dieu qui ne propage que bonté sur terre. La vie est si simple : Rien de plus simple que de faire le bien, vouloir la paix sur terre… Les différences de religions sont inhérentes à la nature de l’homme (elle-même très hétéroclite) et il est normal qu’elles existent. Elles devraient être toutes tolérées dans la mesure ou le mal n’est pas procréé et ou le fanatisme n’existe pas. L’Eglise catholique et Orthodoxe ont de très bonnes relations aujourd’hui mais je dirais en général : « A bas les guerres de religions ! » Nous devrions tous accepter nos prochains avec leurs différentes convictions et crédos. La xénophobie et le racisme ne devraient plus exister….

Le patriarche de Constantinople Bartolomé Ier et Francois Ier

Pour mieux comprendre le dogme de l’Eglise Orthodoxe que vous comparerez avec l’Eglise Catholique, je vous propose de mettre d’abord les choses au point en lisant le récent e-Book (format Kindle si vous avez la lieuse Kinle) Que Sais-Je ? No 949 écrit par Olivier Clément et intitulé « L’Eglise Orthodoxe ». Résumé du livre : Cet ouvrage se propose de donner les aspects essentiels de l’orthodoxie, tant sur le plan historique qu’aux niveaux théologiques, ecclésiastiques et rituels. Il constitue à ce titre une présentation lumineuse de cette CHRÉTIENTÉ, à la fois simple et fervente.

Achetez le récent livre Que Sais-Je »L’Eglise Orthodoxe » a la procure a Pari, ou sur internet

LA RÉCONCILIATION ET LE PARDON.

Quand donc tu présentes ton offrande à l'autel, si là tu te souviens que ton frère a quelque chose contre toi,

Laisse là ton offrande, devant l’autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère ; puis reviens, et alors présente ton offrande (Mt.5, 23-24) .Que cette Année 2025 soit de bienveillance et de charité chrétienne pour tous loin de la jalousie de l’égoïsme et de la possessivité de l’espace et du temps des autres. La prière et le Jeûne sont les deux ailes de l’Aigle qui s’élève et nous portent le discernement loin de l’esprit DE critique.

Avant de participer à la Divine Liturgie et d'approcher du Saint Calice, nous devons chercher à nous réconcilier avec nos frères NOUS CONFESSER .Peu importe ce qu'ils sont ou comme ils sont. La pratique de la miséricorde précède la participation au mystère de l’Eucharistie. Elle nous y prépare et en découle car selon la parole de l’Apôtre Paul, <<L'AMOUR DU CHRIST NOUS PRESSE>> (2cor.5, 14)

Avec ceux que nous aurions pu offenser ou blesser de quelque manière que ce soit.

De même, nous devons demander au Seigneur la grâce de pouvoir pardonner à nos ennemis, et d'abord de nous pardonner en extirpant du fond de notre propre cœur tout sentiment de haine de vengeance de possessivité de malveillance de jalousie ou de ressentiment .

Le rappel de la miséricorde peut étonner, elle constitue une exigence fondamentale et constante de toute vie chrétienne. Elle demeure le baromètre de l'authenticité de nos propres conversions toujours renouvelée. Tous les jours nous côtoyons la misère et l’indigence de l’âme et du corps.

La pratique de la miséricorde droit être rappelée dans les moments les plus sacrés de notre vie ecclésiale.

(Vous aurez toujours les pauvres parmi vous dit le Seigneur Mc, 14,7).

Ne jugeons pas (bien sûr du mauvais jugement) car c'est à la manière dont vous jugez que vous serez jugez. Voilà ce que dans ma prière de tous les jours je demande à Dieu pour moi-même et pour toute la communauté chrétienne pour l'unité des chrétiens.

*SOYEZ PRUDENT SUR LA ROUTE!